fig.20 Thème du triangle engendrant par son apex un complexe linéaire, parfois appelé "chicote", et où s'intercale ici le motif d'une plante radiculaire (plutôt que de l'arbre huarango). Avec le géoglyphe du lézard et un troisième, d'interprétation difficile, apparaît néanmoins pour ces divers dessins une même implantation impliquant semblables centre de visée et visibilité. Le géoglyphe à figures de mains brandies est apparemment presque cerné et fermé, compte tenu, peut-être, de la rapidité à boucler son contour, vu, au regard des deux autres, la modestie de ses dimensions. Un tel géoglyphe aurait pu être engendré par projection d'une plaque découpée permettant cette silhouette lourde, massive, sans découpe intérieure, comme le permet un tracé filiforme moins évident que pour les autres géoglyphes naturalistes, mais cependant devinable.
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